Eloge de la roue libre

12,00

Christophe Salaun nous régale avec cet essai philosophique. 

Une lecture pour les amateurs de la petite reine ou les fans de philo ! et tous les autres aussi car c’est super bien écrit (ok, je vous livre un secret je ne suis pas complètement objective !) 

Quand les autres en parlent : 

« Après les ‘Rêveries du promeneur solitaire’ de Rousseau, les ‘Méditations du cycliste en danseuse’ » (Le Canard enchaîné)/« Christophe Salaün donne à ses contemporains peut-être goût à la philo autant qu’au vélo et lutte ainsi contre l’inculture et l’embonpoint » (Froggy’s Delight)/« Entre dépaysement contemplatif et voyage intérieur […] on prend la roue de ces confessions vélocipédiques avec plaisir » (Philosophie magazine)« Christophe Salaün voit dans le vélo une éthique de l’effort, mais aussi un hédonisme […] et une esthétique, comme s’insérer par la course dans le paysage, y tracer sa voie… » (Le Journal de la philo, France Culture)***Grimper sur un vélo n’est certes plus cette aventure périlleuse que raconte avec drôlerie Mark Twain, elle conserve toutefois le charme et le piquant d’un geste subversif, la saveur particulière d’une initiative qui cherche avant tout à réhabiliter l’individu dans ses droits et cela à rebours de tout égoïsme. On n’est pas assis sur son vélo comme on peut l’être en voiture, illusoirement coupé du monde, blotti dans un cocon qui nous sépare des autres, de leur promiscuité, de leur bavardages, de leur présence. À vélo, on est pleinement dans le monde, et partout on est chez soi. Être « le nez dans le guidon », « en danseuse », en « roue libre »… Ce sont ces métaphores que Christophe Salaün explore avec légèreté non moins qu’avec sérieux, comme il enfourche son vélo, invitant à penser le vélo comme le point de convergence d’expériences qui sont autant d’occasions de redécouverte de soi et du monde. Christophe Salaün est philosophe. Il est l’auteur de “L’art du bonheur selon les philosophes” (Mille et une nuits) et d”Apprendre à philosopher avec Schopenhauer” (Ellipses).

 

Résumé : 

Grimper sur un vélo n’est certes plus cette aventure périlleuse que raconte avec drôlerie Mark Twain, elle conserve toutefois le charme et le piquant d’un geste subversif, la saveur particulière d’une initiative qui cherche avant tout à réhabiliter l’individu dans ses droits et cela à rebours de tout égoïsme. On n’est pas assis sur son vélo comme on peut l’être en voiture, illusoirement coupé du monde, blotti dans un cocon qui nous sépare des autres, de leur promiscuité, de leur bavardages, de leur présence. À vélo, on est pleinement dans le monde, et partout on est chez soi. Être « le nez dans le guidon », « en danseuse », en « roue libre »… Ce sont ces métaphores que Christophe Salaün explore avec légèreté non moins qu’avec sérieux, comme il enfourche son vélo, invitant à penser le vélo comme le point de convergence d’expériences qui sont autant d’occasions de redécouverte de soi et du monde.

victime de son succès

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